Par défaut, WSL 2 n’est pas l’architecture par défaut lors de l’installation d’une nouvelle distribution Linux.
Pour définir WSL 2 comme version par défaut (recommandé), entrez la commande suivante :
- Cliquez sur le bouton Télécharger pour lancer le téléchargement et l’installation de la distribution Linux.
- Une fois l’installation terminée, exécutez votre distribution Linux via le menu Démarrer, la Recherche ou bien le Microsoft Store.
- Patientez pendant l’installation du système.
- Saisissez le nom d’utilisateur puis le mot de passe du compte utilisateur.
- Cliquez sur le bouton Télécharger pour lancer le téléchargement et l’installation de la distribution Linux.
- Une fois l’installation terminée, exécutez votre distribution Linux via le menu Démarrer, la Recherche ou bien le Microsoft Store.
- Patientez pendant l’installation du système.
- Saisissez le nom d’utilisateur puis le mot de passe du compte utilisateur.
La distribution Kali Linux est installée ! Dès maintenant, vous pouvez installer vos outils préférés grâce à "apt-get install".
Retournez dans PowerShell et exécutez la commande ci-dessous pour lister l'ensemble des distributions WSL enregistrées sur votre machine.
wsl-l-v
Ubuntu Linux doit s'afficher dans la liste. Regardez la valeur de la colonne "VERSION" : si c'est indiqué "2", c'est tout bon. Sinon, je vous invite à convertir la machine en version 2 grâce à la commande ci-dessous ("kali-linux" étant le nom de la machine ciblée) :
wsl --set-version kali-linux 2
Notre machine est presque prête, mais nous allons voir comment installer l'interface graphique de Kali Linux sur Windows 10 (WSL).
XFCE et xRDP
Cette méthode consiste à installer l'interface XFCE via le paquet "xfce4" ainsi que XRDP via le paquet du même nom "xrdp", et qui n'est autre qu'une implémentation open source du fameux "serveur RDP" de Windows.
À la fin de l'installation, cela nous permettra de nous connecter sur notre machine Ubuntu Linux via le client Bureau à distance de Windows 10 (ou tout autre client RDP). Ça, ça me plait !
Note : n'oubliez pas "sudo" devant les commandes sinon vous allez obtenir un joli message "Permission denied", car vous n'aurez pas les permissions.
Commencez par mettre à jour la machine kali-linux :
XFCE et xRDP
Cette méthode consiste à installer l'interface XFCE via le paquet "xfce4" ainsi que XRDP via le paquet du même nom "xrdp", et qui n'est autre qu'une implémentation open source du fameux "serveur RDP" de Windows.
À la fin de l'installation, cela nous permettra de nous connecter sur notre machine Ubuntu Linux via le client Bureau à distance de Windows 10 (ou tout autre client RDP). Ça, ça me plait !
Note : n'oubliez pas "sudo" devant les commandes sinon vous allez obtenir un joli message "Permission denied", car vous n'aurez pas les permissions.
Commencez par mettre à jour la machine kali-linux :
sudo apt-get update && sudo apt-get upgrade
sudo apt-get update && sudo apt-get upgrade
Installez le paquet kali-desktop-xfce
sudo apt-get install kali-desktop
🕐 Attendez, ça prend du temps
On va procéder à l'installation de xRDP. Ce sera beaucoup plus rapide. Exécutez la commande suivante :
sudo apt-get install xrdp
sudo apt-get install dbus-x11
Suite à l'installation de ce paquet, il ne reste plus qu'à démarrer le service XRDP :
sudo service xrdp start
Démarrage du serveur Remote Desktop Protocol : xrdp-sesman xrdp.
🕐 Attendez, ça prend du temps
On va procéder à l'installation de xRDP. Ce sera beaucoup plus rapide. Exécutez la commande suivante :
sudo apt-get install xrdp
sudo apt-get install dbus-x11
Suite à l'installation de ce paquet, il ne reste plus qu'à démarrer le service XRDP :
sudo service xrdp start
Démarrage du serveur Remote Desktop Protocol : xrdp-sesman xrdp.
V. Démarrer automatiquement xRDP sur une distribution WSL
Après chaque redémarrage de la machine, il faudrait relancer le service XRDP avant d'initier la connexion, car il ne va pas démarrer automatiquement. En fait, systemctl n'est visiblement pas pris en charge sur WSL pour le moment, on ne peut donc pas faire "systemctl enable xrdp" pour activer le démarrage automatique.
Nous sommes contraints de trouver une alternative... On va s'aider du fichier /etc/sudoers (associé à la commande "sudo") et du fichier .bashrc de notre utilisateur pour automatiser le démarrage du service XRDP au reboot de la machine WSL. D'ailleurs, cette méthode peut fonctionner pour d'autres actions...
Éditez le fichier /etc/sudoers grâce à visudo :
sudo visudo
On va ajouter une règle pour autoriser l'utilisateur de la machine Kali Linux ("benjamin" pour ma part) à exécuter la commande "service" sans que le mot de passe soit demandé (sinon au démarrage ce sera bloquant). Insérez la commande suivante à la fin du fichier en modifiant le nom de l'utilisateur :
benjamin ALL=(ALL:ALL) NOPASSWD : /usr/sbin/service
Enregistrez... Et modifiez maintenant le fichier .bashrc de votre profil (il est chargé à chaque ouverture de la session de l'utilisateur). Ce fichier se situe dans votre profil (/home/username) :
sudo nano /home/username.bashrc
Ajoutez la commande suivante à la fin du fichier :
# auto-start XRDP
sudo service xrdp start
Enregistrez. Il ne reste plus qu'à tester.
Pour cela, il faut que l'on force l'extinction de la machine virtuelle WSL grâce à la commande suivante :
wsl --shutdown [Windows PowerShell]
Relancez ensuite Kali Linux... Le Shell va s'afficher. Il ne reste plus qu'à regarder l'état du service XRDP :
sudo service xrdp status
La commande doit retourner :
xrdp-sesman is running.
xrdp is running.
Après chaque redémarrage de la machine, il faudrait relancer le service XRDP avant d'initier la connexion, car il ne va pas démarrer automatiquement. En fait, systemctl n'est visiblement pas pris en charge sur WSL pour le moment, on ne peut donc pas faire "systemctl enable xrdp" pour activer le démarrage automatique.
Nous sommes contraints de trouver une alternative... On va s'aider du fichier /etc/sudoers (associé à la commande "sudo") et du fichier .bashrc de notre utilisateur pour automatiser le démarrage du service XRDP au reboot de la machine WSL. D'ailleurs, cette méthode peut fonctionner pour d'autres actions...
Éditez le fichier /etc/sudoers grâce à visudo :
sudo visudo
On va ajouter une règle pour autoriser l'utilisateur de la machine Kali Linux ("benjamin" pour ma part) à exécuter la commande "service" sans que le mot de passe soit demandé (sinon au démarrage ce sera bloquant). Insérez la commande suivante à la fin du fichier en modifiant le nom de l'utilisateur :
benjamin ALL=(ALL:ALL) NOPASSWD : /usr/sbin/service
Enregistrez... Et modifiez maintenant le fichier .bashrc de votre profil (il est chargé à chaque ouverture de la session de l'utilisateur). Ce fichier se situe dans votre profil (/home/username) :
sudo nano /home/username.bashrc
Ajoutez la commande suivante à la fin du fichier :
# auto-start XRDP
sudo service xrdp start
Enregistrez. Il ne reste plus qu'à tester.
Pour cela, il faut que l'on force l'extinction de la machine virtuelle WSL grâce à la commande suivante :
wsl --shutdown [Windows PowerShell]
Relancez ensuite Kali Linux... Le Shell va s'afficher. Il ne reste plus qu'à regarder l'état du service XRDP :
sudo service xrdp status
La commande doit retourner :
xrdp-sesman is running.
xrdp is running.
VI. XRDP : modification du port par défaut
Nous avons un second problème à régler : après chaque redémarrage de votre machine physique (et donc de la machine virtuelle WSL), l'adresse IP de votre distribution changera. Du coup, avant de pouvoir se connecter en RDP, il faudrait récupérer l'adresse IP de la machine.
Il faut savoir que xRDP écoute sur le port 3389, ce qui correspond au port par défaut pour le protocole RDP. On pourrait se connecter sur la machine en indiquant "localhost" ou "localhost:3389" : le problème c'est que le RDP est peut-être déjà actif sur la machine Windows 10. Cela va générer un conflit...
Nous allons modifier le port d'écoute de notre serveur XRDP pour le passer de 3389 à 3390 (ou autre chose). Suivez les étapes suivantes.
Nous allons modifier le fichier de configuration de XRDP :
sudo nano /etc/xrdp/xrdp.ini
Dans ce fichier, il y a une ligne qui précise "port=3389" : c'est elle qu'il faut modifier.
port=3391
Dès que c'est fait, enregistrez le fichier et redémarrez le service XRDP :
sudo service xrdp restart
Ouvrez le client RDP de Windows et indiquez ceci :
hôte local : 3391
sudo nano /etc/wsl.conf
[network]
hostname = kali-linux
Redémarrez l'ordinateur...
Nous avons un second problème à régler : après chaque redémarrage de votre machine physique (et donc de la machine virtuelle WSL), l'adresse IP de votre distribution changera. Du coup, avant de pouvoir se connecter en RDP, il faudrait récupérer l'adresse IP de la machine.
Il faut savoir que xRDP écoute sur le port 3389, ce qui correspond au port par défaut pour le protocole RDP. On pourrait se connecter sur la machine en indiquant "localhost" ou "localhost:3389" : le problème c'est que le RDP est peut-être déjà actif sur la machine Windows 10. Cela va générer un conflit...
Nous allons modifier le port d'écoute de notre serveur XRDP pour le passer de 3389 à 3390 (ou autre chose). Suivez les étapes suivantes.
Nous allons modifier le fichier de configuration de XRDP :
sudo nano /etc/xrdp/xrdp.ini
Dans ce fichier, il y a une ligne qui précise "port=3389" : c'est elle qu'il faut modifier.
port=3391
Dès que c'est fait, enregistrez le fichier et redémarrez le service XRDP :
sudo service xrdp restart
Ouvrez le client RDP de Windows et indiquez ceci :
hôte local : 3391
sudo nano /etc/wsl.confhostname = kali-linux[network]
Redémarrez l'ordinateur...
Installation : KDE Plasma Desktop Environment
apt install kali-defaults kali-root-login desktop-base kde-plasma-desktop
Installation : Netbook KDE Plasma Desktop
apt install kali-defaults kali-root-login desktop-base kde-plasma-netbook
Installation : KDE Standard Packages
apt install kali-defaults kali-root-login desktop-base kde-standard
Installation : KDE Full Install
apt install kali-defaults kali-root-login desktop-base kde-full
Désinstallation
apt remove kde-plasma-desktop kde-plasma-netbook kde-standard
GNOME Desktop
Installation
apt install gnome-core kali-defaults kali-root-login desktop-base
Désinstallation
apt remove gnome-core
XFCE Desktop
Installation
apt install kali-defaults kali-root-login desktop-base xfce4 xfce4-places-plugin xfce4-goodies
Désinstallation
apt remove xfce4 xfce4-places-plugin xfce4-goodies
LXDE Desktop
Installation
apt install lxde-core lxde kali-defaults kali-root-login desktop-base
Désinstallation
apt remove lxde-core lxde
Cinnamon Desktop
Installation
apt install kali-defaults kali-root-login desktop-base cinnamon
Désinstallation
apt remove cinnamon
Définir le Window Manager par défaut
update-alternatives --config x-session-manager
ex :
# update-alternatives --config x-session-manager There are 2 choices for the alternative x-session-manager (providing /usr/bin/x-session-manager). Selection Path Priority Status ------------------------------------------------------------ * 0 /usr/bin/gnome-session 50 auto mode 1 /usr/bin/gnome-session 50 manual mode 2 /usr/bin/startkde 40 manual mode Pressto keep the current choice[*], or type selection number: 2
La distribution Debian GNU/Linux est installée ! Dès maintenant, vous pouvez installer vos outils préférés grâce à "apt-get install".
Retournez dans PowerShell et exécutez la commande ci-dessous pour lister l'ensemble des distributions WSL enregistrées sur votre machine.
wsl-l-version
Ubuntu Linux doit s'afficher dans la liste. Regardez la valeur de la colonne "VERSION" : si c'est indiqué "2", c'est tout bon. Sinon, je vous invite à convertir la machine en version 2 grâce à la commande ci-dessous ("Debian" étant le nom de la machine ciblée) :
wsl --set-version Debian 2
Notre machine est presque prête, mais nous allons voir comment installer l'interface graphique de Ubuntu Linux sur Windows 10 (WSL).
XFCE et xRDP
Cette méthode consiste à installer l'interface XFCE via le paquet "xfce4" ainsi que XRDP via le paquet du même nom "xrdp", et qui n'est autre qu'une implémentation open source du fameux "serveur RDP" de Windows.
À la fin de l'installation, cela nous permettra de nous connecter sur notre machine Ubuntu Linux via le client Bureau à distance de Windows 10 (ou tout autre client RDP). Ça, ça me plait !
Note : n'oubliez pas "sudo" devant les commandes sinon vous allez obtenir un joli message "Permission denied", car vous n'aurez pas les permissions.
sudo apt-get update && sudo apt-get upgrade
Si vous utilisez une distribution basée sur Debian (notamment Ubuntu), installez le paquet suivant à la place :
sudo apt-get install xfce4 && sudo apt-get install xfce4-goodies
🕐 Attendez, ça prend du temps
On va procéder à l'installation de xRDP. Ce sera beaucoup plus rapide. Exécutez la commande suivante :
sudo apt-get install xrdp
Suite à l'installation de ce paquet, il ne reste plus qu'à démarrer le service XRDP :
sudo service xrdp start
Démarrage du serveur Remote Desktop Protocol : xrdp-sesman xrdp.
V. Démarrer automatiquement xRDP sur une distribution WSL
Après chaque redémarrage de la machine, il faudrait relancer le service XRDP avant d'initier la connexion, car il ne va pas démarrer automatiquement. En fait, systemctl n'est visiblement pas pris en charge sur WSL pour le moment, on ne peut donc pas faire "systemctl enable xrdp" pour activer le démarrage automatique.
Nous sommes contraints de trouver une alternative... On va s'aider du fichier /etc/sudoers (associé à la commande "sudo") et du fichier .bashrc de notre utilisateur pour automatiser le démarrage du service XRDP au reboot de la machine WSL. D'ailleurs, cette méthode peut fonctionner pour d'autres actions...
Éditez le fichier /etc/sudoers grâce à visudo :
sudo visudo
On va ajouter une règle pour autoriser l'utilisateur de la machine Debian GNU/Linux ("benjamin" pour ma part) à exécuter la commande "service" sans que le mot de passe soit demandé (sinon au démarrage ce sera bloquant). Insérez la commande suivante à la fin du fichier en modifiant le nom de l'utilisateur :
benjamin ALL=(ALL:ALL) NOPASSWD : /usr/sbin/service
Enregistrez... Et modifiez maintenant le fichier .bashrc de votre profil (il est chargé à chaque ouverture de la session de l'utilisateur). Ce fichier se situe dans votre profil (/home/username) :
sudo nano /home/username/.bashrc
Ajoutez la commande suivante à la fin du fichier :
# auto-start XRDP
sudo service xrdp start
Enregistrez. Il ne reste plus qu'à tester.
Pour cela, il faut que l'on force l'extinction de la machine virtuelle WSL grâce à la commande suivante :
wsl --shutdown [Windows PowerShell]
Relancez ensuite Debian... Le Shell va s'afficher. Il ne reste plus qu'à regarder l'état du service XRDP :
sudo service xrdp status
La commande doit retourner :
xrdp-sesman is running.
xrdp is running.
VI. XRDP : modification du port par défaut
Nous avons un second problème à régler : après chaque redémarrage de votre machine physique (et donc de la machine virtuelle WSL), l'adresse IP de votre distribution changera. Du coup, avant de pouvoir se connecter en RDP, il faudrait récupérer l'adresse IP de la machine.
Il faut savoir que xRDP écoute sur le port 3389, ce qui correspond au port par défaut pour le protocole RDP. On pourrait se connecter sur la machine en indiquant "localhost" ou "localhost:3389" : le problème c'est que le RDP est peut-être déjà actif sur la machine Windows 10. Cela va générer un conflit...
Nous allons modifier le port d'écoute de notre serveur XRDP pour le passer de 3389 à 3390 (ou autre chose). Suivez les étapes suivantes.
Nous allons modifier le fichier de configuration de XRDP :
sudo nano /etc/xrdp/xrdp.ini
Dans ce fichier, il y a une ligne qui précise "port=3389" : c'est elle qu'il faut modifier.
port=3392
Dès que c'est fait, enregistrez le fichier et redémarrez le service XRDP :
sudo service xrdp restart
Ouvrez le client RDP de Windows et indiquez ceci :
hôte local : 3392
sudo nano /etc/wsl.conf
hostname = Debian[network]
Redémarrez l'ordinateur...
- Pingouin (paiement : 19,99 €)
La distribution Pengwin est installée ! Dès maintenant, vous pouvez installer vos outils préférés grâce à "apt-get install".
Retournez dans PowerShell et exécutez la commande ci-dessous pour lister l'ensemble des distributions WSL enregistrées sur votre machine.
wsl-l-version
Pengwin doit s'afficher dans la liste. Regardez la valeur de la colonne "VERSION" : si c'est indiqué "2", c'est tout bon. Sinon, je vous invite à convertir la machine en version 2 grâce à la commande ci-dessous ("WLinux" étant le nom de la machine ciblée) :
wsl --set-version WLinux 2
Notre machine est presque prête, mais nous allons voir comment installer l'interface graphique de Ubuntu Linux sur Windows 10 (WSL).
XFCE et xRDP
Cette méthode consiste à installer l'interface XFCE via le paquet "xfce4" ainsi que XRDP via le paquet du même nom "xrdp", et qui n'est autre qu'une implémentation open source du fameux "serveur RDP" de Windows.
À la fin de l'installation, cela nous permettra de nous connecter sur notre machine Pengwin via le client Bureau à distance de Windows 10 (ou tout autre client RDP). Ça, ça me plait !
Note : n'oubliez pas "sudo" devant les commandes sinon vous allez obtenir un joli message "Permission denied", car vous n'aurez pas les permissions.
sudo apt-get update && sudo apt-get upgrade
Si vous utilisez une distribution basée sur Debian (notamment Ubuntu), installez le paquet suivant à la place :
sudo apt-get install xfce4 && sudo apt-get install xfce4-goodies
🕐 Attendez, ça prend du temps
On va procéder à l'installation de xRDP. Ce sera beaucoup plus rapide. Exécutez la commande suivante :
sudo apt-get install xrdp
Suite à l'installation de ce paquet, il ne reste plus qu'à démarrer le service XRDP :
sudo service xrdp start
Démarrage du serveur Remote Desktop Protocol : xrdp-sesman xrdp.
V. Démarrer automatiquement xRDP sur une distribution WSL
Après chaque redémarrage de la machine, il faudrait relancer le service XRDP avant d'initier la connexion, car il ne va pas démarrer automatiquement. En fait, systemctl n'est visiblement pas pris en charge sur WSL pour le moment, on ne peut donc pas faire "systemctl enable xrdp" pour activer le démarrage automatique.
Nous sommes contraints de trouver une alternative... On va s'aider du fichier /etc/sudoers (associé à la commande "sudo") et du fichier .bashrc de notre utilisateur pour automatiser le démarrage du service XRDP au reboot de la machine WSL. D'ailleurs, cette méthode peut fonctionner pour d'autres actions...
Éditez le fichier /etc/sudoers grâce à visudo :
sudo visudo
On va ajouter une règle pour autoriser l'utilisateur de la machine Pengwin ("benjamin" pour ma part) à exécuter la commande "service" sans que le mot de passe soit demandé (sinon au démarrage ce sera bloquant). Insérez la commande suivante à la fin du fichier en modifiant le nom de l'utilisateur :
benjamin ALL=(ALL:ALL) NOPASSWD : /usr/sbin/service
Enregistrez... Et modifiez maintenant le fichier .bashrc de votre profil (il est chargé à chaque ouverture de la session de l'utilisateur). Ce fichier se situe dans votre profil (/home/username) :
sudo vim /home/username/.bashrc
# auto-start XRDP
sudo service xrdp start
Enregistrez. Il ne reste plus qu'à tester.
Pour cela, il faut que l'on force l'extinction de la machine virtuelle WSL grâce à la commande suivante :
wsl --shutdown [Windows PowerShell]
Relancez ensuite Pengwin... Le Shell va s'afficher. Il ne reste plus qu'à regarder l'état du service XRDP :
sudo service xrdp status
La commande doit retourner :
xrdp-sesman is running.
xrdp is running.
VI. XRDP : modification du port par défaut
Nous avons un second problème à régler : après chaque redémarrage de votre machine physique (et donc de la machine virtuelle WSL), l'adresse IP de votre distribution changera. Du coup, avant de pouvoir se connecter en RDP, il faudrait récupérer l'adresse IP de la machine.
Il faut savoir que xRDP écoute sur le port 3389, ce qui correspond au port par défaut pour le protocole RDP. On pourrait se connecter sur la machine en indiquant "localhost" ou "localhost:3389" : le problème c'est que le RDP est peut-être déjà actif sur la machine Windows 10. Cela va générer un conflit...
Nous allons modifier le port d'écoute de notre serveur XRDP pour le passer de 3389 à 3390 (ou autre chose). Suivez les étapes suivantes.
Nous allons modifier le fichier de configuration de XRDP :
sudo vim /etc/xrdp/xrdp.ini
Dans ce fichier, il y a une ligne qui précise "port=3389" : c'est elle qu'il faut modifier.
port=3393
Dès que c'est fait, enregistrez le fichier et redémarrez le service XRDP :
sudo service xrdp restart
Ouvrez le client RDP de Windows et indiquez ceci :
hôte local : 3393
hostname = WLinux[network]
zypper remove nom_paquet : désinstalle un paquet (et gère les dépendances liées),zypper info nom_paquet : donne les informations sur le paquet concerné,zypper list-updates : liste les mises à jour disponibles,zypper update : met à jour tous les programmes installés,zypper dist-upgrade : mise à jour vers une version de distribution plus récente,zypper ps : après chaque mise à jour ou suppression de paquet, certains processus utilisent des fichiers supprimés ou devenus obsolètes par la mise à jour, cette commande permet de lister ces processus,zypper refresh : rafraichissement des méta-données de tous les dépôts configurés.
Press F10Press F10
Press F10
- Cliquez sur le bouton Télécharger pour lancer le téléchargement et l’installation de la distribution Linux.
Une fois l’installation terminée, exécutez votre distribution Linux via le menu Démarrer, la Recherche ou bien le Microsoft Store.- Patientez pendant l’installation du système.
- Saisissez le nom d’utilisateur puis le mot de passe du compte utilisateur.
La distribution openSUSE Leap 15.4 est installée ! Dès maintenant, vous pouvez installer vos outils préférés grâce à "zypper install".
Retournez dans PowerShell et exécutez la commande ci-dessous pour lister l'ensemble des distributions WSL enregistrées sur votre machine.
wsl-l-version
Ubuntu Linux doit s'afficher dans la liste. Regardez la valeur de la colonne "VERSION" : si c'est indiqué "2", c'est tout bon. Sinon, je vous invite à convertir la machine en version 2 grâce à la commande ci-dessous ("openSUSE-Leap-15.4" étant le nom de la machine ciblée) :
wsl --set-version openSUSE-Leap-15.4
Notre machine est presque prête, mais nous allons voir comment installer l'interface graphique de openSUSE Leap 15.4 sur Windows 10 (WSL).
XFCE et xRDP
Cette méthode consiste à installer l'interface XFCE via le paquet "xfce4" ainsi que XRDP via le paquet du même nom "xrdp", et qui n'est autre qu'une implémentation open source du fameux "serveur RDP" de Windows.
À la fin de l'installation, cela nous permettra de nous connecter sur notre machine Ubuntu Linux via le client Bureau à distance de Windows 10 (ou tout autre client RDP). Ça, ça me plait !
Note : n'oubliez pas "sudo" devant les commandes sinon vous allez obtenir un joli message "Permission denied", car vous n'aurez pas les permissions.
Si vous utilisez une distribution basée sur Debian (notamment Ubuntu), installez le paquet suivant à la place :
sudo zypper refsudo zypper updatesudo zypper install firewalld
sudo systemctl enable firewalld
sudo systemctl start firewalld
sudo systemctl status firewalld
sudo zypper ref -b && sudo zypper up
sudo zypper in -t pattern xfce
sudo zypper rm -t pattern kde kde_plasma
sudo zypper rm -t pattern gnome
sudo zypper install xrdp
Enregistrez... Et modifiez maintenant le fichier .bashrc de votre profil (il est chargé à chaque ouverture de la session de l'utilisateur). Ce fichier se situe dans votre profil (/home/username) :
sudo nano /home/username/.bashrc
Ajoutez la commande suivante à la fin du fichier :
# auto-start XRDP
sudo service xrdp start
Enregistrez. Il ne reste plus qu'à tester.
Pour cela, il faut que l'on force l'extinction de la machine virtuelle WSL grâce à la commande suivante :
wsl --shutdown [Windows PowerShell]
Relancez ensuite Debian... Le Shell va s'afficher. Il ne reste plus qu'à regarder l'état du service XRDP :
sudo service xrdp status
La commande doit retourner :
xrdp-sesman is running.
xrdp is running.
VI. XRDP : modification du port par défaut
Nous avons un second problème à régler : après chaque redémarrage de votre machine physique (et donc de la machine virtuelle WSL), l'adresse IP de votre distribution changera. Du coup, avant de pouvoir se connecter en RDP, il faudrait récupérer l'adresse IP de la machine.
Il faut savoir que xRDP écoute sur le port 3389, ce qui correspond au port par défaut pour le protocole RDP. On pourrait se connecter sur la machine en indiquant "localhost" ou "localhost:3389" : le problème c'est que le RDP est peut-être déjà actif sur la machine Windows 10. Cela va générer un conflit...
Nous allons modifier le port d'écoute de notre serveur XRDP pour le passer de 3389 à 3390 (ou autre chose). Suivez les étapes suivantes.
Nous allons modifier le fichier de configuration de XRDP :
sudo zypper install nano
sudo nano /etc/xrdp/xrdp.ini
Dans ce fichier, il y a une ligne qui précise "port=3389" : c'est elle qu'il faut modifier.
port=3394
Dès que c'est fait, enregistrez le fichier et redémarrez le service XRDP :
sudo service xrdp restart
Ouvrez le client RDP de Windows et indiquez ceci :
hôte local : 3394
sudo nano /etc/wsl.conf
[network]
hostname = openSUSE
Redémarrez l'ordinateur...
- Cliquez sur le bouton Télécharger pour lancer le téléchargement et l’installation de la distribution Linux.
Une fois l’installation terminée, exécutez votre distribution Linux via le menu Démarrer, la Recherche ou bien le Microsoft Store.
Patientez pendant l’installation du système. Saisissez le nom d’utilisateur puis le mot de passe du compte utilisateur.
La distribution Fedora Remix est installée ! Dès maintenant, vous pouvez installer vos outils préférés grâce à "apt-get install".
Retournez dans PowerShell et exécutez la commande ci-dessous pour lister l'ensemble des distributions WSL enregistrées sur votre machine.
wsl-l-version
Fedora Remix doit s'afficher dans la liste. Regardez la valeur de la colonne "VERSION" : si c'est indiqué "2", c'est tout bon. Sinon, je vous invite à convertir la machine en version 2 grâce à la commande ci-dessous ("fedoraremix" étant le nom de la machine ciblée) :
wsl --set-version fedoraremix 2
Notre machine est presque prête, mais nous allons voir comment installer l'interface graphique de Fedora Remix sur Windows 10 (WSL).
Avec DNF
ouvrir un terminal, et saisir la commande suivantesudo dnf grouplist -vsudo dnf install xrdpEt modifiez maintenant le fichier .bashrc de votre profil (il est chargé à chaque ouverture de la session de l'utilisateur). Ce fichier se situe dans votre profil (/home/username) :
sudo nano /home/username/.bashrc
Ajoutez la commande suivante à la fin du fichier :
# auto-start XRDP
sudo service xrdp start
Enregistrez. Il ne reste plus qu'à tester.
Pour cela, il faut que l'on force l'extinction de la machine virtuelle WSL grâce à la commande suivante
wsl --shutdown [Windows PowerShell]
Nous avons un second problème à régler : après chaque redémarrage de votre machine physique (et donc de la machine virtuelle WSL), l'adresse IP de votre distribution changera. Du coup, avant de pouvoir se connecter en RDP, il faudrait récupérer l'adresse IP de la machine.
Il faut savoir que xRDP écoute sur le port 3389, ce qui correspond au port par défaut pour le protocole RDP. On pourrait se connecter sur la machine en indiquant "localhost" ou "localhost:3389" : le problème c'est que le RDP est peut-être déjà actif sur la machine Windows 10. Cela va générer un conflit...
Nous allons modifier le port d'écoute de notre serveur XRDP pour le passer de 3389 à 3390 (ou autre chose). Suivez les étapes suivantes.
Nous allons modifier le fichier de configuration de XRDP :
sudo nano /etc/xrdp/xrdp.ini
Dans ce fichier, il y a une ligne qui précise "port=3389" : c'est elle qu'il faut modifier.
port=3395
Dès que c'est fait, enregistrez le fichier et redémarrez le service XRDP :
sudo service xrdp restart
Ouvrez le client RDP de Windows et indiquez ceci :
hôte local : 3395
sudo nano /etc/wsl.confhostname = fedoraremix[network]
Redémarrez l'ordinateur...
Chôse à Savoir:
A Nous allons d’abord installer sudo Sur un ordinateur personnel, cela simplifie la gestion, évite des problèmes de permissions ou des erreurs graves.
Note : « sudo » nous permet d’intervenir en tant qu’administrateur, c’est une sécurité, un utilisateur qui n’en a pas les privilèges ne pourra modifier le système.
apt install sudo
Le mot de passe vous sera demandé entre les deux commandes, entrez le à l’aveugle (c’est une sécurité) puis tapez sur [Entrée]
– Pour m’autoriser à utiliser sudo, j’ai du donner la permission à mon login, remplacez « monlogin » par le votre dans la commande suivante :
adduser monlogin sudo
Note : votre login est la première partie du prompt – [monlogin@nomdemonordi ~]$
Puis redémarrez !
A – 1 –> Pour commencer, on passe le classique et incontournable :
sudo apt update sudo apt full-upgrade
B Compléter l’installation du système par des compléments utiles.
A certaines étapes vous verrez une question ou une demande de validation dans le terminal.
Pour continuer, il faut utiliser la touche tab (celle avec les deux flèches) pour sélectionner oui ou ok, puis la touche entrée pour valider.
B – 1
sudo apt install xfce4-goodies
C Maintenant, nous allons faire les réglages indispensables pour toute variante.
C – 1 –> Pour commencer il est utile d’avoir l’éditeur de texte le plus pratique (il vous permettra aussi de suivre d’autres tutos sans vous creuser la tête )
sudo apt install gedit
C – 2 –> TRES IMPORTANT : gérer l’utilisation de la mémoire (tout le monde devrait le faire : les réglages par défaut sont plus logiques pour un serveur que pour un ordi personnel) —> https://dolys.fr/forums/topic/optimiser-gestion-ram-swap-linux/
.
C – 3 –> Bien gérer la température et l’autonomie – utile sur un fixe, indispensable sur un portable [IMPORTANT]:sudo apt install tlp
Systemd gère les services, pour activer tlp il faut donc :
sudo tlp start sudo systemctl enable tlp sudo systemctl enable tlp-sleep
Note : tlp est réglé pour la grande majorité des utilisateurs, il existe cependant de nombreux réglages pour les cas particuliers, la doc (en anglais) est là : http://linrunner.de/en/tlp/docs/tlp-configuration.html
C – 4 –> J’ai aussi ajouté l’exploitation du microcode (Ca sert à corriger les bugs du bios sans le changer, bref à bien gérer votre processeur.)Là la manip dépend de si on a un processeur intel ou un AMD.
Si vous ne savez pas quel est votre processeur faites :
lscpu | grep Intel
ça vous donnera des infos sur votre processeur dont une ligne « GenuineIntel » ou « AuthenticAMD » ou autre chose pour de plus rares bécanes.
Si donc vous avez un processeur Intel (ET UNIQUEMENT POUR UN INTEL):
sudo apt install intel-microcode
note : dans de très rares cas, le intel-microcode a l’effet inverse de celui escompté et ralentit le système, dans ce cas, annulez l’installation avec un
sudo apt remove intel-microcode
Si votre processeur est un AMD : bonne nouvelle, vous n’avez rien à faire, votre microcode est inclus dans linux-firmware.
note : petite parenthèse, certains sont troublés par le nom des versions 32 et 64 bits d’Ubuntu et variantes.
En effet, les 32 s’appellent i686, les 64 s’appellent amd64 – ces deux noms sont à ne pas confondre avec la marque de votre processeur, ils désignent simplement l’architecture du processeur.
Donc on installe bien indifféremment du amd64 (qui s’appelle aussi x86_64) sur un processeur Intel ou sur un processeur AMD 64 bits, confusionnant n’est ce pas ?
C – 5 –> Comme j’ai des disques durs WD, j’ai calmé le Load Cycle Count : https://dolys.fr/forums/topic/truc-calmer-cycles-de-chargement-tetes-disques-wd/
C – 6 –> Pouvoir installer des programmes externes (soyez toujours très prudents dans l’installation de programmes qui ne sont pas dans les dépôts)
sudo apt install gdebi
–> Exemple de programme externe très pratique : Anydesk (pour intervenir à distance sur un ordi, quelque soit son OS)
C – 7–> Économiser sa batterie facilement en éteignant l’écran d’un simple raccourci (il se rallumera à la moindre pression d’une touche du clavier ou mouvement de souris).
Pratique sur portable : plus besoin de fermer le capot. pratique sur fixe pour ne pas être dérangé par la luminosité en cas de tâche de fond.
Allez dans le gestionnaire de paramètres – clavier – raccourcis d’applications et collez :
sh -c "sleep 1; xset dpms force off;"
Puis sélectionnez la combinaison de touche que vous appréciez (ctrl e pour moi). (Merci à Vaykadji)
C – 8 Si votre wifi vous semble lent, passez ici : https://dolys.fr/forums/topic/tuto-ma-connexion-internet-est-lente-mon-wifi-est-lent-que-faire/
C – 9 Si vous voulez profiter du night-shift (gestion des couleurs de l’ordinateur suivant l’heure : reposant le soir), passez là : https://dolys.fr/forums/topic/le-nightshift-sur-votre-ordinateur/
C – 10 Si vous voulez avoir des sons d’ambiance propices à la concentration, il y a anoise ou noisli, regardez ici : https://dolys.fr/forums/topic/aide-a-concentration-ordinateur-smartphone-tablette/
C – 11 Un truc est agaçant quand on a un clavier avec touchpad : nos paumes de mains font bouger le curseur. Pour éviter cela, désactivons le touchpad pendant la frappe !
D On peut maintenant suivre le « how to » de finalisation de l’installation.
D – 1 –> Mettre un pare feu
sudo apt install gufw sudo ufw enable
Puis :
sudo systemctl enable ufw
D – 2 –> Ajouter un antivirus (pour voir si on a des virus W$ – en principe pas souvent utile)
sudo apt install clamav clamtk
D – 3 –> Outil de nettoyage pour l’ordi (vieux fichiers, historiques, etc) – il sera dans menu des applications – système
sudo apt install bleachbit
Note : attention avec bleachbit, on peut facilement d’un clic malencontreux, nettoyer ce qui ne doit pas l’être !
D – 4 –> La suite bureautique à bien réglée
Lancer libreoffice (dans menu des applications – bureau)
aller dans outils – options – chargement/enregistrement – général
en bas à droite sélectionnez
– pour documents texte microsoft office 97/2003,
– pour classeurs – excel 97/2003
– pour présentations – powerpoint 97/2003
(comme ça on peut envoyer des documents lisibles par les pôvres qui restent sous W$ – j’indique la version 97/2003 qui produit des .doc et des .xls plutôt que les suivantes qui donnent des .xlsx et .docx parce que beaucoup de gens les utilisent et qui sait lire un .docx sait lire un .doc, mais pas l’inverse !)Pensez aussi à grammalecte pour peaufiner la grammaire et la ponctuation ainsi que vérifier l’orthographe
Si vous avez plus de 1Go de RAM, pour accélérer Libre office (merci sylvain 3800); allez dans outils – options – mémoire :
– ajustez Utiliser pour LibreOffice (cache graphique) à 128 Mo.
– ajustez Mémoire par objet à 20 Mo.Si vous ne connaissez pas, explorez Libreoffice Draw : vous ne pourrez plus vous en passer pour vos invitations cartes de vœux ou prospectus…
D – 5 –> Client mail : Thunderbird
J’utilise systématiquement Thunderbird qui est pour moi l’outil le plus pratique pour gérer mes mails, voici comment le finaliser
D – 6 –> Navigateur : Firefox
Firefox est installé par défaut sur la plupart des variantes, il est très paramétrable, je vous ai concocté un tuto pour l’optimiser
D – 7 –> Navigateur de secours rapide et léger :
sudo apt install falkon
D – 8 Il est très intéressant d’avoir des polices adaptées à nos productions, un petit outil pratique pour cela : TypeCatcher
sudo apt install typecatcher
j’installe aussi les polices Microsoft pour voir ce que voient plein de gens (sinon, on a pas la même présentation)
sudo apt install ttf-mscorefonts-installer
D – 9 Deux commandes qui devraient simplifier la vie avec les imprimantes (La première lance le serveur d’impression, la seconde permet de retrouver l’imprimante sur le réseau)
sudo systemctl enable --now cups.service sudo systemctl enable --now avahi-daemon
E Nous allons maintenant compléter l’installation de base avec des logiciels pratiques ou confortables.
E – 1 –> Coquetterie : un bel écran de veille
sudo apt install xscreensaver && sudo apt install xscreensaver-data-extra && sudo apt install xscreensaver-gl-extra && sudo apt install xscreensaver-screensaver-bsod
Puis pour régler : menu des applications – gestionnaire de paramètres – économiseur d’écran – sélectionner économiseur d’écran aléatoire et cocher ce qui vous amuse.
E – 2 –> Si vous prévoyez d’éditer du code html vous pouvez ajouter à gedit :
sudo apt install gedit-plugins
E – 3 –> Compresser et décompresser ses fichiers
sudo apt install unace rar unrar unar p7zip-rar p7zip zip unzip arj libuu0 mpack sharutils uudeview
E – 4 –> Si il vous manque des codecs pour visualiser toutes les vidéos
sudo apt install gxine libdvdread4 icedax tagtool easytag id3tool lame nautilus-script-audio-convert libmad0 mpg321 libavcodec-extra
E – 5 –> Pouvoir télécharger (les copies de sauvegarde de ses films et musiques)
sudo apt install qbittorrent
Important : pour filtrer les pairs indésirables ou trop curieux de votre identité : téléchargez –> qbt-multi-blocklists puis installez le avec Gdebi (merci à metalux qui explique son travail –> là )
E – 6 –> Gérer les photos (logiciel génial)
sudo apt install shotwell
E – 7 –> Pour gérer vos pods et votre bibliothèque musicale rhythmbox :
sudo apt install rhythmbox
E – 8 –> Pour éditer vos vidéos , openshot :
sudo apt install openshot openshot-doc
E – 9 –> Pour transcoder vos vidéos, handbrake :
sudo apt install handbrake
E – 11 –> Pour avoir une connexion FTP (si on utilise)
sudo apt install filezilla
E – 12 –> pour les nuls en dessin qui ont peur de gimp mais veulent éditer leurs photos : pinta
sudo apt install pinta
E – 13 –> Nous parlions de skype plus haut, bon, ce n’est pas du open source, mais si vous en voulez :
wget https://repo.skype.com/latest/skypeforlinux-64.deb sudo dpkg -i skypeforlinux-64.deb
E – 14 –> Pour lire vos livres électroniques et gérer vos bibliothèques (sélectionnez toute l’instruction avec un triple clic) :
sudo -v && wget -nv -O- https://raw.githubusercontent.com/kovidgoyal/calibre/master/setup/linux-installer.py | sudo python -c "import sys; main=lambda:sys.stderr.write('Download failed\n'); exec(sys.stdin.read()); main()"
Puis un petit tour sur le mode d’emploi de calibre
E – 15 –> Pour créer vos cartes de visite (et imprimer sur la plupart des kits du commerce) : gLabels :
sudo apt install glabels
E – 16 –> Pour visualiser et imprimer les pdf : qpdfview
sudo apt install qpdfview
F –> Formatage et partitionnement de disques.
Le plus simple est d’installer gnome-disk-utility très pratique pour gérer les interventions :sudo apt install gnome-disk-utility
Vous le trouverez dans le menu sous le nom « disques »
Si vous voulez la version puissante pour gérer les partitionnements, voire changer leur taille, position, etc, c’est Gparted :sudo apt install gparted
G Compléments (très) utiles
G – 1 -> Carrément indispensable ! Avoir un outil de backup de vos données :
Bien sûr, pour ce faire, il vous faut un disque dur externe ; ça vaut 50€ ou moins – à évaluer par rapport à la valeur du temps que vous avez passé sur votre ordi et de vos données.
K Finalisation (ouf on arrive au bout !) :
K – 1 –> Nettoyage classique :
sudo apt clean sudo apt update sudo apt full-upgrade sudo apt autoremove --purge sudo reboot
note : n’oubliez pas de faire un autoremove de temps en temps (après de grosses mises à jour) ça enlève les paquets devenus inutiles et ça libère de l’espace. Faute de le faire on peut finir par être bloqué et il est plus fastidieux de débloquer que de faire l’autoremove !
Si vous avez installé des paquets via Snap ou Flatpak pensez à leur mise à jour :
sudo snap refresh
flatpak update
L –>Pour ceux qui sont tous seuls sur leur ordi et veulent un démarrage direct sans login ni mot de passe (sauf si vous êtes sur Kubuntu) :
sudo -H gedit /usr/share/lightdm/lightdm.conf.d/01_debian.conf
Là on met
# Debian specific defaults # # - use lightdm-greeter session greeter, points to the etc-alternatives managed # greeter # - hide users list by default, we don't want to expose them # - use Debian specific session wrapper, to gain support for # /etc/X11/Xsession.d scripts [Seat:*] autologin-user=moi-meme autologin-user-timeout=0 greeter-session=lightdm-greeter # greeter-hide-users=true session-wrapper=/etc/X11/Xsession
En remplaçant « moi-meme » par …. votre nom d’utilisateur !
L – 1 –>Touche finale : accélérer le chargement de certaines applis en amendant votre fichier hosts (crédit à andso ) Entrez dans le terminal toute la ligne de commande qui suit (merci à nany pour la syntaxe) :
echo -e "VOTRE ANCIEN FICHIER HOSTS\n" ; cat /etc/hosts ; S="localhost" ; R="localhost "$(cat /etc/hostname) ; sudo sed -i "s/$S$/$R/" /etc/hosts ; echo -e "\nVOTRE NOUVEAU FICHIER HOSTS\n" ; cat /etc/hosts
Si vous avez lu cette to do list en tant qu’invité sur le forum n’hésitez pas à vous inscrire directement sur le forum : c’est facile, gratuit et vous aurez des réponses à toutes vos questions (il n’y a pas de bête question et les gens mordent rarement ici ! )
Maintenant que vous avez vu comme moi que le terminal n’est pas si horrible, si vous vous en servez de temps en temps, pour savoir ce que vous faîtes et avoir la bonne syntaxe, pensez à son manuel : man
Par exemple :man man
man apt
Bonus : maintenant que vous maîtrisez le terminal, amusez vous à passer
sudo lshw lsblk lsblk -m
La première commande listera tous les détails de votre ordinateur, la seconde votre partitionnement, la troisième les propriétaires et privilèges des partitions.
Petit goodie pour la route : pour vous amuser avec le terminal : https://dolys.fr/forums/topic/fantaisies-terminal-linux/
Astuce : si vous voulez explorer votre ordinateur à partir du navigateur, entrez
file:///home/
dans la barre d’adresses
sudo apt install backintime-gnome
Il permet de sauvegarder sur un disque en ext4 et surtout, la sauvegarde est parfaitement lisible, on peut directement recopier un fichier en cas de besoin.
Un poil fastidieux à paramétrer la première fois : il faut brancher le disque externe puis aller voir dans [propriétés] son adresse pour la retrouver dans backintime.
Il faut penser à renseigner ce qu’on sauvegarde (en principe /home) je l’utilise donc en version simple et non en version root (réservée à qui veut sauvegarder tout le système).
Puis pensez à définir une fréquence de sauvegarde (hebdo suffit à un particulier).
Petit défaut : si le support de sauvegarde n’est pas branché, on est alerté, mais il faut lancer la sauvegarde manuellement une fois le support branché.
G – 2 –> Pouvoir installer des logiciels conçus pour Windows (.exe) – wine
sudo apt install wine
Pour savoir si votre logiciel sera bien émulé avec wine regardez si il est platinium ou gold ici : http://appdb.winehq.org/
G – 3 –> Pour graver vos CD – DVD : brasero
sudo apt install brasero
C’est le plus fiable des graveurs que j’aie utilisé (alors que par exemple, xfburn livré avec xfce foire souvent…)
G – 4 –> Etre avisé des mises à jour
sudo apt install pk-update-icon
H Passons à la personnalisation de Xfce
note : si vous utilisez plusieurs bureaux, souvenez vous que le clic du milieu (molette) sur le bureau permet de voir les applis ouvertes sur tous les bureaux (et d’y aller) – magie de Xfce !
H – 1 –> Pour trouver vos applis et vos fichiers à la vitesse de la lumière, pensez à synapse (Une fois installé, le raccourci pour y accéder est crtl – espace) :
sudo apt install synapse
H – 2 –> Alternative très complète à synapse : kupfer (ne prenez qu’un des deux)
sudo apt install kupfer
I Apparence et look sans se fatiguer et pour montrer aux autres que c’est joli Xfce !
I -1 …Pour un look classique et ne pas déstabiliser ceux qui viennent de w$ :
– Clic droit sur le bureau – icônes – cocher « afficher les vignettes » (vous donnera une mini image de vos photos ou pdf).
– J’aime bien les icônes brave :
sudo apt install gnome-brave-icon-theme
– Dans menu des applications – gestionnaire de paramètres – apparence j’utilise le thème mist (on choisit celui qu’on aime, cela dit, non seulement j’aime l’esthétique de mist, mais c’est aussi l’un des thèmes les plus légers et les plus rapides)
– Puis dans gestionnaire de fenêtres j’utilise wallis (mais là aussi des goûts et des couleurs…)
Puis je descends le tableau de bord en bas (vieux réflexe W$ )
Pour descendre le tableau de bord/barre des tâches : clic droit sur le tableau de bord – tableau de bord – préférences du tableau de bord – décocher « verrouiller le tableau de bord »
Là apparaissent des petits points à droite et à gauche du tableau de bord, on clique dessus, garder cliqué, glisser vers le bas.
A nouveau clic droit sur le tableau de bord/barre des tâches – tableau de bord – préférences du tableau de bord – cocher « verrouiller le tableau de bord »
On peut aussi glisser le tableau de bord à gauche et le régler en « afficher et masquer automatiquement ».
Je vire aussi la corbeille du bureau (menu des applications – gestionnaire de paramètres – bureau – icônes) et l’ajoute dans la barre des tâches (clic droit sur la barre des tâches – tableau de bord – ajouter des greffons)
Puis j’ajoute le précieux greffon « contrôle l’espace disque libre » (Si vous avez partitionné votre disque en / – /home pensez à mettre deux greffons, même chose si vous avez plusieurs disques dur.)
I – 2 –> A propos de greffons, je considère comme indispensable d’avoir capture d’écran que je règle (clic droit propriétés) sur « sélectionner une zone »,
Pour activer l’impression d’écran (qui ne l’est pas toujours), allez dans (Paramètres] – [Clavier] – [Raccourci d’applications] et entrez un nouveau raccourci :
xfce4-screenshooter -f
..que vous attribuez, bien sûr à la touche [imp écr] (ou [prtscr])
Important aussi d’avoir contrôle l’espace disque libre que je règle sur /home (vous pouvez changer le répertoire suivant votre partition – merci à andso) et très intéressant d’avoir clipman qui mémorise vos 10 derniers copier (crtl – c).
note :
– en cliquant droit sur vos tableaux de bords, vous pourrez ajouter, supprimer, déplacer les greffons.
– particulièrement utile pour la présentation : ajoutez un séparateur un greffon « Séparateur » dans le tableau de bord juste après le greffon « Boutons des fenêtres ». Puis clic droit sur le séparateur et dans les propriétés, cochez « étendu ». Ceci assurera que les greffons « techniques » restent bien à droite
J Avec Xfce, vous pouvez vraiment vous amuser à avoir un look extra en deux ou trois clics :
J – 1 Certains grincheux reprochent le look « classique » de Xfce, or avoir un ressenti « moderne » c’est facile : déverrouillez le tableau de bord du haut (clic droit – propriété du tableau de bord) puis glissez le en bas – ensuite glissez le tableau de bord 2 (le dock) à gauche de votre écran.
Bien entendu verrouillez à nouveau les tableaux de bord, sinon ils se baladeront partout
J – 2 Pour que ce soit vraiment beau il suffit d’utiliser des jeux d’icônes comme Greybird, Oxygen (gestionnaire des paramètres – apparence) ou pour avoir plus de choix encore d’ajouter des thèmes d’icônes.
Certains thèmes n’existant pas dans les dépôts sont intéressants, comme celui de l’éditeur d’icones flat design numix
Pour l’installer :
sudo apt install git
git clone https://github.com/numixproject/numix-icon-theme-circle.git
sudo mv Numix-Circle /usr/share/icons
sudo mv Numix-Circle-Light /usr/share/icons
Il suffit ensuite de sélectionner le thème d’icônes numix-icon-theme-circle
[Note] Si vous voulez vraiment personnaliser jusqu’au bout, il est intéressant de savoir où trouver des icônes en pagaille : http://icones.pro/ – xfce-look.org
J – 3 – Pour changer de thème sous Xfce, il vous faut juste télécharger un thème xfce.
Si c’est une archive, vous la décompressez, ça donne normalement un dossier.
Allez ensuite dans [Paramètres] – [Apparence] onglet [Style] et vous glissez tout simplement le dossier dans l’onglet, là vous n’avez plus qu’à sélectionner l’onglet.
[Note] pour trouver des thème Xfce : xfce-look.org , http://www.noobslab.com/ , customize.org/xfce , deviant-arts
J – 4 Si vous utilisez le dock, pour avoir un truc vraiment efficace, plank :
sudo apt install plank
1- plank est très facile à régler : vous cliquez droit au bord ou ctrl – clic droit sur le dock.
2- pour ajouter vos applications préférées, vous les glissez ensuite dans la barre de plank.
3- si vous voulez un « dash » (présentation de tous vos logiciels en une page), allez dans Menu / Accessoire / et là glissez « liste des applications » sur plank. Dans « préférences » on peut le customiser en dash avec icônes, ou en menu (merci à Christophe C )
[Note] J’ai viré les boutons d’action (éteindre/redémarrer, etc) de tous mes docks : je trouve qu’ils ne se comportent pas optimalement et les préfère dans le tableau de bord. (Il y a peut être une logique : les tableaux de bords sont intégrés dans leur environnement et les docks sont multi-environnements.)
J – 5 –>Pour avoir un réglage de son tout simple dans le tableau de bord :
sudo apt install xfce4-mixer
vous installera un greffon tout simple « mixer » à ajouter dans le tableau de bord.
J – 6 –>Pour régler la luminosité à la souris :
sudo apt install xbacklight xfce4-power-manager-plugins
même manip que ci-dessus pour avoir la luminosité sous la souris.
J – 7 –>Pour ceux qui veulent un tableau de bord intégré au menu des applications (façon Mac OS X) il y a topmenu
J – 8 –> Passez ici pour peaufiner l’utilisation du menu Whisker
CUDA on Windows Subsystem for Linux (WSL)
The NVIDIA CUDA on WSL driver brings NVIDIA CUDA and AI together with the ubiquitous Microsoft Windows platform to deliver machine learning capabilities across numerous industry segments and application domains.
Developers can now leverage the NVIDIA software stack on Microsoft Windows WSL environment using the NVIDIA drivers available today.
The NVIDIA Windows GeForce or Quadro production (x86) driver that NVIDIA offers comes with CUDA and DirectML support for WSL and can be downloaded from below.
We will no longer host any preview driver for WSL2 on developer zone. Developers on the Windows Insider Program may continue to receive bleeding edge driver with bug fixes and improvements through Windows Update.
Watch this space for more updates to CUDA on WSL2 support.
Open a terminal and type:
sudo add-apt-repository universe
Step 2: Update apt-get
Enter your user account password when the terminal prompts you to do so. Now, you need to update apt-get in order for the repository to be utilized.
sudo apt-get update
Step 3: Install Alien package
Now that we have the Universe repository added, install Alien by executing this command:
sudo apt-get install alien
Step 4: Convert .rpm package to .deb
Once it is installed, make sure that the software package you have downloaded is an .rpm file. Go to the folder where your .rpm file is located. Once you have the .rpm file ready, simply run the command:
sudo alien <name of package>.rpm
Step 5: Install the Converted Package
It may take a moment for the file to convert. Once it is done, install the file normally by using dpkg:
sudo dpkg -i <name of package>.deb
It should install like a regular .deb package file. You can now use your newly-installed software normally.
Step 6: Install RPM Package Directly Onto the System on Ubuntu
For the other method, Alien is also the software used to install RPM packages directly onto the system. Simply run the following command once you are in the same folder as the RPM package you wish to install.
sudo alien -i <name of package>.rpm
Give it a minute, and it should be installed on your system with no issues.
wsl --list